The Stranglers – Aural Sculpture (1984)

J'ai un doute concernant Laurie Latham : en effet j'ai supposé qu'il s'agissait d'une femme parce que "Laurie" me semble être une forme plutôt féminine de diminutif de "Law/urence" (cf. Laurie Anderson), la forme masculine courante étant "Larry". Mais après recherches plus approfondies, il semblerait que ce soit un homme. Pourtant, si on tire une conclusion à partir de ses options de production (qu'est-ce que c'est que ces joueurs de trompette à la con ???...), Laurie Latham est une PUTAIN de GONZESSE !!! qui a définitivement achevé de castrer les Stranglers. Bon, faut dire aussi que les Stranglers ont été assez cons pour aller poser eux-mêmes leurs couilles sur le billot, en composant des chansons pop mollassonnes ou débiles, pas forcément totalement désagréables mais tellement  inférieures à ce qu'ils ont été capables de faire avant... Tout est bien poli, rien ne dépasse : Cornwell a achevé sa métamorphose en crooner super-sexy, le jeu de Dave Greenfield est exempt de toute maniaquerie, Jet Black sonne comme une boîte à rythme, et même J.-J. Burnel finit par paraître, euh... gentil. Je m'abstiendrai de décrire les deux albums suivants ("Dreamtime", qui contient "Always the Sun", le titre des Stranglers le plus entendu à la radio en France, et "10" dont la meilleure chanson est une mauvaise reprise de "96 Tears"...) qui poursuivent jusqu'en bas sur la même pente descendante (même si c'est sans Laurie Latham... mais toujours avec les trompettes)...

 

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