David BOWIE
– Diamond Dogs (1974)
Après
les cartons consécutifs de « Ziggy Stardust »
et « Aladdin Sane », Bowie commence à être fatigué (ça va même
finir par s’entendre dans sa façon de chanter) et décide de se renouveler. Pour ce faire,
il commence par virer ses Spiders from Mars et engage des
requins de studio (comme Herbie Flowers et Aynsley Dunbar) à la place. Il pond d'abord un disque de reprises, puis décide de faire un album-concept basé
sur le roman « 1984 » de George Orwell, mais des problèmes de droits
et/ou les caprices de sa muse font dévier le projet sur ces étranges et
décousus « Diamond Dogs » que fans et critiques considèrent
généralement comme un album moyen dans sa discographie (le seul tube à en
provenir étant « Rebel Rebel », ça donne une idée du niveau de
l’ensemble). Il y a tout de même une bonne proportion de passages intéressants,
en particulier ceux sur lesquels commence à se profiler l’influence de Peter
Hammill (en particulier le final « Chant of the Ever Circling
Skeletal Family »).
Précision
pour les collectionneurs : si le chien-Bowie sur la pochette a un zizi,
ton disque vaut plus d’argent.
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