David BOWIE – Diamond Dogs (1974)

 

Après les cartons consécutifs de « Ziggy Stardust » et « Aladdin Sane », Bowie commence à être fatigué (ça va même finir par s’entendre dans sa façon de chanter) et décide de se renouveler. Pour ce faire, il commence par virer ses Spiders from Mars et engage des requins de studio (comme Herbie Flowers et Aynsley Dunbar) à la place. Il pond d'abord un disque de reprises, puis décide de faire un album-concept basé sur le roman « 1984 » de George Orwell, mais des problèmes de droits et/ou les caprices de sa muse font dévier le projet sur ces étranges et décousus « Diamond Dogs » que fans et critiques considèrent généralement comme un album moyen dans sa discographie (le seul tube à en provenir étant « Rebel Rebel », ça donne une idée du niveau de l’ensemble). Il y a tout de même une bonne proportion de passages intéressants, en particulier ceux sur lesquels commence à se profiler l’influence de Peter Hammill (en particulier le final « Chant of the Ever Circling Skeletal Family »).

 

Précision pour les collectionneurs : si le chien-Bowie sur la pochette a un zizi, ton disque vaut plus d’argent.

 

 

Retour au sommaire

 

Textes © 2006 – Mr Prog International Corporation

Images (y compris visuels pochettes de disques) © les gens à qui les images appartiennent

 

Toute reproduction même partielle de ce site est totalement prohibée et sera sanctionnée (si j’arrive à attraper les contrevenants) par l’écoute de « Supper’s Ready » de Genesis en entier ou bien (dans le cas où le contrevenant s’avèrerait être un pervers fan de Genesis) par un châtiment d’une cruauté sans équivalents connus dans ce monde (ni dans l’autre).

 

Ce site n’est affilié en aucune sorte à « Pengla » ni à « Apocalypse en 9/8 »