Emerson, Lake &
Palmer (1970)
Le
premier album du supergroupe prog contient déjà les bases de leur style,
reposant sur la virtuosité aux claviers de Keith Emerson, et des compositions
inspirées (lorsqu’il ne s’agit pas de reprises pures et simples) de morceaux
classiques (« The Barbarian », « The Three Fates »), avec
aussi Greg Lake qui se prend pour le plus grand ménestrel de tous les temps par
moments (« Take a Pebble », « Lucky Man »).
Le
meilleur titre de l’album est sûrement « Knife-Edge » (même s’il a un
son assez daté). Il y a aussi « Tank » qui est marrant (en faisant
abstraction du solo de batterie)…
La
pochette est très laide.
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