Francis Monkman – Energism (1983)

 

Ce premier album solo de Francis Monkman le voit utiliser des synthés très (trop…) typiques de l’époque (le disque est publié sur le label « Innovative Communications » de Klaus Schultze…) plutôt que son instrument de prédilection (le clavecin – réel ou synthétique) pour une collection d’hymnes instrumentaux dédiés à la doctrine philosophique foireuse dont on n’a jamais entendu parler ni avant ni après et qui donne son nom au titre de l’album. C’est vif et bien joué (Mo Foster fait du gros bruit à la basse), à la croisée des chemins entre prog, fusion et musique électronique, mais c’est pas super-passionnant quand même (ça aurait pu servir de génériques aux frères Bogdanoff). Bizarreries particulières qui sont autant de points négatifs : la durée scandaleusement courte de l’album (même pas 29 minutes) malgré le fait que quelques-uns des morceaux recommencent pendant environ une minute sous prétexte de présenter une fin différente…

 

 

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