François Bréant – Sons Optiques (1978)

Paru à l’époque sur le label Egg, cet album instrumental prend comme prétexte d'être la bande-son d'un film imaginaire (d'où des titres de morceaux idiots). Outre le François Bréant lui-même (principalement connu des gens que ça intéresse comme collaborateur de Bernard Lavilliers...), on retrouve des noms plus ou moins illustres parmi les musiciens, plus spécialement Didier Lockwood (bien mis en valeur par ses quelques parties de violon) et Albert Marcoeur. Pas inintéressant, bien foutu, mais un peu léger tout de même (ferait parfois penser à une sorte d'Art Zoyd mollasson...).

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