The Icicle Works – The Icicle Works (1984)
Les compositions ne manquent pas de souffle (le chanteur non plus... enfin si, au niveau du volume sonore), les arrangements sont rutilants (pourtant 100% synthétiques...) et le chanteur exprime une exaltation emphatique, dans une veine plutôt langoureuse vu qu'il n'a pas l'air capable de dégager un trop fort volume sonore (hum, je me répète ?... c'est parce que c'est l'essentiel à retenir). A tel point que ce trio new-wave, sympathique au demeurant, est l'illustration vivante des excès qu'on peut rencontrer parfois chez les groupes néo-psychés et deviendrait même presque un équivalent épique des (moins doués et plus racoleurs) nouveaux romantiques, ce qui rappelle aussi les défauts des groupes progressifs les plus ridicules de la décennie précédente...
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