Jeff Beck – There & Back (1980)

 

Le dernier album de fusion de Jeff Beck avant le virage pop (limite variétoches) de « Flash ».

 

Un truc gênant sur cet album est qu’il regroupe deux sessions inhomogènes : les trois titres du début sont faits avec Jan Hammer, et le reste avec le nouveau groupe de Beck (Tony Hymas/Simon Phillips/Mo Foster). Je ne sais pas ce qui s’est passé exactement entre Beck et Hammer, mais j’imagine qu’il doit y en avoir un des deux qui a dû dire à l’autre : « bon le contrat est rempli, maintenant tu te casses ». Ça ne serait pas très grave si les meilleurs titres du disque n’étaient pas tous justement ceux de Hammer. L’ouverture « Star Cycle » est le meilleur morceau. Vient ensuite une version instrumentale de « Too Much to Lose » nettement meilleure que l’originale chantée sur l’infâme « Melodies ». Tout le reste n’est pas mauvais, mais… bof.

 

 

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