John Paul Jones – Zooma (1999)
Quand
on demandait à Page et Plant au moment de la pseudo-reformation « Unledded »,
où était John Paul Jones, Plant répondait : « il est allé garer la
voiture… »
Faux
les mecs, il s’est tiré avec la caisse et il vous a laissés en rade…
L’album
solo de JPJ est un chef-d’œuvre instrumental reposant sur des lignes de basses
monstrueuses (« Zooma », « Tidal », « Goose », « Bass’n’Drums »
etc…), et parfois sur les mandolines (« The Smile of Your Shadow »,
qui n’est pas sans rappeler les sets acoustiques du Zep) ou les claviers et les
arrangements orchestraux (« Snake Eyes »). Publié sur le label DGM de
Fripp (d’où la présence logique de Trey Gunn en guest sur « Grind »
et « B. Fingers »).
Tu
veux un bon conseil ? Va chez ton disquaire et essaye d’échanger ton « Walking
into Clarksdale » contre « Zooma »…
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