Il faut se rappeler qu’avant de devenir le monstre
sans âme aux ordres de Roger Waters (voire pire ensuite, la tirelire sans âme
aux ordres de David Gilmour), Pink Floyd était un groupe avant-gardiste plutôt
intéressant, guidé par un garçon un peu dérangé (suite à l’abus de substances
illicites) nommé Syd Barrett. Avec son premier album, il a créé (ou tout du
moins donné leurs lettres de noblesse à) non pas seulement un, mais deux genres
propres, qui sont un peu les grands frères du prog anglais (tel que défini
ensuite par King Crimson) : le rock psychédélique anglais (dont
l’influence se fera sentir essentiellement par la suite dans le courant Canterbury)
et le space-rock (avec « Interstellar Overdrive »). C’est
probablement le seul album de Pink Floyd écoutable sans s’endormir (même si ses
histoires de gnomes et de bicyclettes, et ses bruitages de canards sont un peu
tartignolles)…
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