PETER GABRIEL (1977)
(« Peter
Gabriel 1 » ou « car » ou « voiture (en français dans le
texte) » pour les intimes)
…pasque
sur la pochette le Gab il est dans une voiture (et il a pas bonne mine)
Bob
Ezrin (l’affreux producteux de Kiss etc…) est aux commandes, et certains titres
de l’album en font les frais, acquérant une grandiloquence a priori absente
dans les compos du Gab. La machine à tubes commençait à se mettre en marche
avec « Solsbury Hill ». Dans l’ensemble les titres sont agréables
mais sans conséquence, et facilement oubliés sans une écoute répétée. Il manque
quelque chose tout de même à cet album pour être vraiment bon. Fripp fait
partie des guests-stars, mais à part sa partie de banjo dans « Excuse me »
(la chanson qui commence avec un « barbershop » de Tony Levin), ses
contributions passent inaperçues dans l’ensemble.
En
France, ce disque a reçu le grand prix de l’académie Charles Cros.
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