PETER GABRIEL (1980)
(« Peter
Gabriel 3 » ou « melt » pour les intimes)
…pasque
la pochette c’est la tête au Gab qui dégouline bizarrement (ça a probablement
inspiré le film « Street Trash » LOL)
Peter
Gabriel arrive enfin à trouver un son accrocheur sur la plupart des morceaux de
cet album, la production de Steve Lillywhite y est peut-être pour quelque chose…
Les
guests-stars incluent Phil Collins (qui arriverait presque à faire croire qu’il
sait jouer de la batterie), Paul Weller, Robert Fripp (audible et
reconnaissable mais tout de même très sous-employé) et Kate Bush (qui devrait
prendre des cours de français… non je rigole elle est adorable)…
On
se rappellera avant tout « I don’t remember » et euh… j’ai oublié.
Non
sans ça il y a « And Through the Wire » et surtout « Games
without Frontiers » (à mon avis la meilleure de l’album, ou en tout cas
celle qui a l’accroche la plus efficace). Le disque finit par une B.A.
politique façon world music en saluant la mémoire du militant noir sud-africain
Biko (et ouais les gars, y avait encore l’apartheid quand ce disque est sorti,
et même le mur de Berlin. C’est dingue comme le temps passe…).
à
noter l’existence d’un version « ein deutsches album » pour le marché
allemand… (c’est peut-être marrant à écouter, je ne connais pas)
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