Styx – Equinox (1975)

 

Ceux qui auront résisté à la tentation de jeter l’album par la fenêtre après avoir entendu des paroles aussi poétiques que « The weather’s quite divine / so pass me on the wine / lovely one » auront droit à quelques bonnes chansons musclées. J’ai presque failli monter à un rang au-dessus dans l'échelle de notation, mais finalement ce sera ça (et c’est déjà bien noté). Je suis persuadé que Styx aurait été un bien meilleur groupe s’il s’était agi simplement de James Young en power-trio avec les frères Panozzio (cf. « Midnight Ride », la chanson composée et chantée par JY). Un groupe qui laisse le poste de chanteur et la majeure partie du travail de composition à un infâme comme Dennis De Young part forcément avec un lourd handicap…

 

Une bonne idée pour la pochette : un glaçon en train de flamber (?!?)

 

 

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