John Renbourn – The Lady and the Unicorn (1970)
C’est quasiment un disque de guitare classique, John Renbourn adaptant ici à la guitare acoustique des compositions médiévales, folk traditionnelles ou classiques, seul ou accompagné, selon les morceaux, par des percussions, des cordes et/ou des flûtes. Il ne prétend pas, cependant, reproduire fidèlement la sonorité de cette musique telle qu’elle était jouée à l’époque de sa création. Sa version du « Saltarrello » italien souffre, avec le recul, de la comparaison avec la reprise flamboyante de Dead Can Dance sur « Aion ». Son long « Scarborough Fair » instrumental fait en revanche bonne figure en s’écartant de ce que Simon & Garfunkel ont fait de cet air, grâce au travail remarquable de Don Harper à la viole et Tony Roberts à la flûte. Pour le reste je n’ai pas de point de comparaison, mais une chose est sûre : pour aimer ce disque, à la base il faut apprécier ce genre de vieilleries. Ce qui est mon cas… à doses homéopathiques…
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