Yes – Time and a Word (1970)

 

Sans renoncer à la veine baroque du 1er album (cette fois-ci ce sont Richie Havens et le Buffalo Springfield qui sont repris, au lieu des Byrds et des Beatles), il y a en bonus un orchestre dans le fond sonore de certains morceaux (est-ce une bonne idée ?). La thématique cosmique et fantastique chère aux progueux en général et à Jon Anderson en particulier commence à s’exprimer ici avec des titres comme « The Prophet » et « Astral Traveller » (probablement la meilleure de l’album). L’album s’achève par la ballade sirupeuse qui lui donne son titre. Intéressant d’un point de vue historique, mais musicalement il est certain que le meilleur de Yes était encore à venir.

 

Sur la pochette on voit Steve Howe alors qu’il ne joue pas sur l’album, il venait tout juste d’être engagé en remplacement de Peter Banks, un guitariste au phrasé jazz compétent mais assez impersonnel, parti pour une carrière solo (le poste avait alors été proposé à Robert Fripp, qui déclina l’offre).

 

 

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