King Crimson – Starless and Bible Black (1974)

 

Début 73, Jamie Muir est parti pour un monastère bouddhiste, laissant le groupe sous la forme d’un quatuor dangereusement déséquilibré. Sans doute dans le but de capturer au mieux l’essence du Crimso de l’époque, de nombreux morceaux de cet album sont enregistrés en concert (en particulier le fameux 23/11/73 au Concertgebouw d’Amsterdam), y compris des improvisations. Sur plus de trois quarts d’heure de musique contenue dans ce disque, seule une dizaine de minutes environ a été enregistrée en studio (« The Great Deceiver », « Lament » et toute la fin de « The Night Watch »). Tout est bon ici, mais le problème est que certaines des impros (et notamment celle qui donne son titre à l’album) font un peu quand même figure de poids mort à côté de compositions aussi parfaites que « Fracture ».

 

Mention spéciale à Bill Bruford pour son « admirable restraint » sur « Trio ».

 

 

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