Jethro Tull – Under
Wraps (1984)
Comme
dans le cas de « [A] », les fans « loyalistes »
de Tull rejettent cet album principalement sur la base de sa sonorité très
synthétique (oubliant que les synthés étaient déjà omniprésents du temps de
John Evan). Le seul vrai problème en fait est l’inspiration pop inconsistante
et / ou hard-FM qui avait déjà coulé « Broadsword and the Beast » (avec le même infâme P. J.
Vettese aux claviers…). Autrement dit, ça rentre par une oreille et ça ressort
par l’autre… mais c’est bien joué, avec de bon apports de Martin Barre (quand
il n’est pas recouvert par Vettese)… donc globalement, c’est un des meilleurs
moins bons albums de Tull (oui je sais c’est compliqué comme phrase au premier
abord, mais c’est la formule la plus adéquate pour résumer la situation).
A noter que c’est Ian Anderson qui joue la batterie…
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