XTC – Drums and Wires (1979)

 

En dehors du tube interplanétaire “Making Plans for Nigel”, ce disque regorge de chansons sautillantes intelligemment composées et arrangées.

 

Outre les liner notes hilarantes dont je traduirai ici seulement le début :

« L’album a été répété contre toute attente (vous savez le genre de trucs, pas de toilettes, les serveurs chinois d’à côté qui se plaignent) dans la cave de l’ex-club de nos managers et dans une masure juste à la sortie de la ville. Il a été enregistré au studios Townhouse à Goldhawk Road, Londres contre toute attente (les toilettes bouchées, les Ian Anderson d’à côté qui se plaignent)… »

cet album est la preuve, s’il en fallait encore, que la créativité et l’inventivité avaient déserté les dinosaures progueux au profit des groupes new-wave à la fin des années 70. Peter Gabriel ne s’y trompa pas en confiant son troisième album solo à l’équipe Lillywhite/Padgham responsable de la production de ce petit chef d’œuvre de pop/rock déjantée.

 

 

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