PAPIllon – La Planète Rock n’Roll (1974)

Pathé Marconi

 

Une mention à l’arrière de la pochette insiste pour que cet album solo de l’ancien bassiste-chanteur de Triangle soit « joué fort », on se demande ce que cela apporterait de plus dans la mesure où il contient principalement des imbecillités genre Castelain, à peine sauvées par les guitares de (Mimi Lorenzini ?... Pierre Fanen ?...) et des arrangements de Jean-Claude Vannier. « L’Air que Je Chante », adaptation en français du « Starman » de Bowie fidèlement mais assez horriblement interprétée par les musiciens, constitue peut-être bien le passage le plus intéressant de l’album... enfin, intéressant dans le sens : qui capte l’attention. Ce qui est assez bizarre est que la voix de Papi(llon) est différente (moins désagréable…) par rapport à dans Triangle, sauf pour « Left with my Sorrow » qui s’avère être en fait une version alternative d’un titre du premier « Triangle », par le groupe au complet (avec flûte tullienne…). Je ne sais pas s’il s’agit d’une tentative pseudo-conceptuelle, ou de simple remplissage (enfin avec le coup de la vieille chute de Triangle qui vient comme un cheveu sur la soupe à la fin de la première face, ça semble quand même plutôt indiquer qu’on est dans le deuxième cas…), mais la chanson qui donne son titre à l’album est jouée au début, et répétée à la fin en version live (simulée ?)…

 

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