TOYAH – Prostitute (1988)

 

Toyah (Mme Fripp à la ville) est plutôt insupportable comme chanteuse sur disque. Du moins dans ce pseudo-album concept sur la condition féminine. Imaginez un mélange de ce que Kate Bush et Laurie Anderson ont chacune fait de pire… M. Fripp est-il dans le coup ? est-ce lui qui se cache sous le pseudo « Steve Sidelnyc » ? apparemment oui, on reconnaît bien sa voix dans le dialogue du début (« Hello »…  « Libertine ! ») et sa guitare à la fin (en fait, rien qu’un petit riff pompé à l’album de The League of Gentlemen…). C’est la seule raison valable d’avoir ce disque. A moins d’être vraiment fan de Toyah bien sûr……………….

 

 

PS : pris d’un soudaine témérité, j’ai réécouté cet album depuis longtemps relégué aux oubliettes, et il m’a paru bien moins mauvais que dans mon souvenir (mais tout de même pas de quoi relever la note). Les références explicites à l’œuvre de Fripp comprennent aussi une piste vocale qui revient de temps en temps sur le début du disque et qui rappelle le thème de « Fracture », et le titre de chanson « Let the Power Bleed » renvoyant à « Let the Power Fall ».

 

Quelque part c’est rassurant de savoir que Toyah est presque totalement reconvertie en actrice de théâtre et « people » de la téléréalité outre-Manche...

 

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