Bunny Brunel featuring Daniel Goyone – Touch (1979)

 

Je suppose qu’on peut percevoir la mauvaise influence de Jaco Pastorius dans le fait de faire couiner une basse fretless et de s’en servir pour des solos virtuoses mais sans réel intérêt (on a alors envie de dire à Bunny « arrête ! c’est moche ! »). Et la mauvaise influence de George Martin pour ce qui est de coller des arrangements orchestraux prouteux partout (l’ingé son étant Jean-Pierre Massiera, ça intéressera peut-être ses obsédés)… Dédé Ceccarelli cachetonne à la batterie, mais Chick Corea vient en super guest star au moog et écrit même un petit mot gentil pour son ami Bunny sur la pochette (Stanley Clarke ne joue pas sur le disque, mais écrit un petit mot aussi…). Ça semble confirmer que Chick Corea et Stanley Clarke n’ont pas très bon goût musicalement. Conclusion : c’est de la fusion caricaturale et casse-couilles.

 

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