Hatfield and the North – The Rotters’ Club (1975)

 

On prend les mêmes (du moins pour ce qui est du quatuor de base et des Northettes) et on recommence. Enfin pas tout à fait, car comparé au premier album qui était très expérimental et sentait bon le bidouillage en studio, cette suite sonne beaucoup plus pop avec davantage de chant (avec la voix –particulière– de Richard Sinclair…) et des compositions simplifiées, replaçant les Hatfield quelque part entre Camel (pour le côté niais et mou) et Gentle Giant (pour la complexité technique instrumentale). Dave Stewart a la mauvaise idée de se prendre pour Keith Emerson et de vouloir pondre une suite progressive de presque une face pleine de 33 tours. Le résultat global est décevant et parfois même franchement chiant. Un bon conseil si vous aimez ce groupe : contentez-vous du premier album…

 

 

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