The Stranglers - The Raven (1979)

Ca n'est déjà plus un album punk, même s'il en reste des traces au creux de certaines chansons ("Dead Loss Angeles", "Nuclear Device"...), et ça n'est pas non plus encore un album de new-wave tiède comme ceux de la période Epic. C'est surtout un album très imaginatif où les Stranglers élargissent leur palette sonore (de la ballade au piano "Don't Bring Harry" à la première apparition des vicieux et insupportables "Meninblack", en passant par le magnifique "Baroque Bordello" en apparence très simple et en réalité très complexe, ou l'inverse... et toutes sortes de trouvailles plus ou moins synthétiques et expérimentales...) et affirment une maîtrise technique des instruments peu courante, ou plus exactement : largement dissuadée (sauf cas extrêmement particuliers) chez les groupes punk/new-wave (rien que Greenfield donne déjà le tournis dans "Duchess"...).

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